1er Cercle
de
cette nouvelle saison
vendredi 21 septembre à 20h30
à la bibliothèque de Chevreuse
Le Cercle des Liseurs du Val
Nos coups de cœur du 3 février 2011
Paris, jeudi 3 février 2011 | |
Un
Cercle très particulier pour une Soirée tout particulièrement
appréciée !!
Les Lieurs du Val
assistent en direct à l’émission animée par François Busnel La
Grande Librairie , émission qui propose chaque semaine un
magazine qui suit de près l'actualité littéraire, Etaient invités ce soir là :
Jonathan Coe,
pour
Maxwell Sim est un loser de
quarante-huit ans. Voué à l’échec dès sa naissance (qui ne fut pas
désirée), poursuivi par l’échec à l’âge adulte (sa femme le quitte, sa
fille rit doucement de lui), il s’accepte tel qu’il est et trouve même
certaine satisfaction à son état. Mais voilà qu’une proposition
inattendue lui fait traverser l’Angleterre au volant d’une Toyota
hybride, nantie d’un GPS à la voix bouleversante dont, à force de
solitude, il va tomber amoureux. Son équipée de commis-voyageur,
représentant en brosses à dents dernier cri, le ramène parmi les
paysages et les visages de son enfance, notamment auprès de son père sur
lequel il fait d’étranges découvertes : le roman est aussi un jeu de
piste relancé par la réapparition de lettres, journaux, manuscrits qui
introduisent autant d’éléments nouveaux à verser au dossier du passé. Et
toujours Max pense à la femme chinoise et à sa fille, aperçues dans un
restaurant en Australie, dont l’entente et le bonheur d’être ensemble
l’ont tant fasciné. Va-t-il les retrouver? Et pour quelle nouvelle
aventure? Brouillant joyeusement les cartes de la vérité et de
l’imposture, Coe l’illusionniste se réserve le dernier mot de
l’histoire, qui ne manquera pas de nous surprendre.
Philippe Delerm,
pour
Le trottoir au soleil s’inscrit
dans la lignée des textes brefs – La première gorgée de bière et autres
plaisirs minuscules, La sieste assassinée, Dickens, barbe à papa et
autres nourritures délectables… – qui ont fait le succès de Philippe
Delerm.
Il semble qu'aujourd'hui le
développement durable soit la seule idéologie qu'il nous reste. De
facture relativement récente, on la retrouve cependant partout, tout le
temps. Elle accommode l'école, bien sûr, mais aussi le travail, le
supermarché, la politique... Le Pape même s'y est mis. Sujet
incontournable, consensuel ou presque...
Hubert Reeves,
pour « En rédigeant ce livre, j’ai pris conscience de la valeur symbolique que je pouvais lui donner : celle d’un testament spirituel que je dédie à mes petits-enfants. Que voudrais-je leur transmettre de ce que j’ai pu découvrir sur ce grand Univers qu’ils vont continuer à habiter après moi pour qu’ils puissent ensuite le transmettre à leur tour ?Dans cette suite de conversations avec l’une de mes petites-filles, un été, sous le ciel étoilé que nous contemplons ensemble, je revis ces soirées du mois d’août avec mes enfants qui me bombardaient de questions, pendant que nous attendions les étoiles filantes. La contemplation de la voûte céleste et le sentiment de notre présence parmi les astres sont la source d’un désir partagé d’en savoir plus sur ce mystérieux cosmos que nous habitons. »
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