Dominique Julien-Labruyère
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Dominique Julien-Labruyère est
Vice-président de France-Ecologie et
Conseiller municipal de Cernay-la-Ville.
Il fut l'un des principaux artisans de la création du Parc Naturel
Régional de la Haute Vallée de Chevreuse.
Conseiller régional écologiste en 1992, il a contribué à la création de
deux autres parcs naturels, le Vexin et le Gâtinais.
Son premier ouvrage publié en 2005 aux Editions Chemin de Traverse, "Vertcœur",
propose une histoire romancée de la protection de la Vallée de
Chevreuse.
Il a également publié chez le même éditeur, "Nouvelles ordinaires" en
2009.
Avec "Sans Effraction" (Publibook), 2016, il récidive, et nous propose
cette fois les aventures d'une experte chargée d'élucider la disparition
"sans effraction" d'œuvres d'art dans quatre châteaux de la Haute Vallée
de Chevreuse. Ce sera l'occasion pour elle et pour le lecteur de
découvrir ce qu'était cette région avant son urbanisation.
Page Facebook : https://fr-fr.facebook.com/DJulienLabruyere
Fondation Anne De Gaulle : http://fondation-anne-de-gaulle.org/
Livres en dédicace sur le Salon:
Les deux vies du Château de Vertcœur Auteurs : François Lemasson, Anne de Laroullière et Dominique Julien-Labruyère Editeur : Fondation Anne de Gaulle Le livre est disponible : A la Fondation Anne-de-Gaulle, château de Vertcœur à Milon-la-Chapelle. Au château de Breteuil, à Choisel. Au Petit Casino de la Grande Place, à Cernay-la-Ville. A la jardinerie de Chevreuse. Prix : 28 € reversé à la fondation Anne-de-Gaulle.
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Sans Effraction Auteur : Dominique Julien-Labruyère Editeur : Publibook
"Sabine écoutait les
explications de son guide avec intérêt, mais peut-être plus pour
le guide que pour ce qu'il disait. Le parc, de 400 hectares clos
de murs, une forêt pour les trois quarts, parfaitement
ordonnancé autour de la demeure centrale et des magnifiques
étangs où s'égosillaient des oies bernaches, semblait figé dans
le temps. Ils passèrent plusieurs heures à arpenter les lieux;
Sabine n'oubliait pas sa mission, elle voulait voir s'il
existait des traces de pneus ou autres et Georges s'en amusait.
Ils allèrent également à l'orangerie au bout du chemin dit de
l'Astrée, près des dépendances, pour voir les pierres à bossages
et les mascarons féminins du XVIe, toujours en place." |
Autres titres:
- Nouvelles
ordinaires (Editions Chemin
de Traverse), 2009
- Vertcœur
(Editions Chemin de Traverse), 2005
- La collection
Breteuil-Philipon, 1988